S’inspirant de l’univers des contes, la vingtaine de photomontages que présente Catherine Rondeau explorent ce qui se joue dans la tête d’un enfant occupé à négocier son rapport au monde, usant de son imagination pour relâcher des tensions intérieures. Les rêveries de l’enfant viennent à la rencontre de ses désirs et les comblent, lui permettant ainsi de mieux composer avec la réalité.
C’est en observant les traversées imaginaires de ses deux petites filles que l’artiste a eu envie de mieux comprendre l’attrait irrésistible des enfants pour le merveilleux. Inscrites dans le sillage des études sur le conte, lequel remonte aux sources mêmes de l’enchantement, ses images mettent en scène des enfants, ses enfants, tels des héros dans les récits fabuleux, qui affrontent leurs peurs et assouvissent leurs désirs les plus intimes.
Véritables portes d’entrée dans la psyché enfantine, les oeuvres de Catherine Rondeau sont empreintes de sensibilité, tantôt humoristique, tantôt tragique, mais toujours à l’image des fabulations indispensables au développement d’un enfant qui, demain, aura à inventer le monde. Comme un pont jeté entre l’intensité du portrait intimiste et l’affranchissement de la pensée surréaliste, ses tableaux donnent à voir ce qui se joue de l’autre côté du miroir…
S’inspirant de l’univers des contes, la vingtaine de photomontages que présente Catherine Rondeau explorent ce qui se joue dans la tête d’un enfant occupé à négocier son rapport au monde, usant de son imagination pour relâcher des tensions intérieures. Les rêveries de l’enfant viennent à la rencontre de ses désirs et les comblent, lui permettant ainsi de mieux composer avec la réalité.
C’est en observant les traversées imaginaires de ses deux petites filles que l’artiste a eu envie de mieux comprendre l’attrait irrésistible des enfants pour le merveilleux. Inscrites dans le sillage des études sur le conte, lequel remonte aux sources mêmes de l’enchantement, ses images mettent en scène des enfants, ses enfants, tels des héros dans les récits fabuleux, qui affrontent leurs peurs et assouvissent leurs désirs les plus intimes.
Véritables portes d’entrée dans la psyché enfantine, les oeuvres de Catherine Rondeau sont empreintes de sensibilité, tantôt humoristique, tantôt tragique, mais toujours à l’image des fabulations indispensables au développement d’un enfant qui, demain, aura à inventer le monde. Comme un pont jeté entre l’intensité du portrait intimiste et l’affranchissement de la pensée surréaliste, ses tableaux donnent à voir ce qui se joue de l’autre côté du miroir…
Sutton (Québec)
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